Dans un contexte d’urgence climatique, il est essentiel de réduire l’impact environnemental de sa consommation. Dans le but d’informer les consommateurs et de faire preuve de transparence, HappyVore a ainsi commandité une étude auprès du cabinet Agrosolutions. Une analyse du cycle de vie des 5 références phares de la marque a ainsi été réalisée pour les aiguillettes, les allumettes, les chipolatas, les steaks et les nuggets 100% végétaux.
« En moyenne, un produit HappyVore émet 12 fois moins de kg équivalent CO2 et nécessite 2,8 fois moins d’eau que son équivalent carné. Le différentiel d’impact le plus important est celui entre le bœuf et le steak végétal HappyVore, puisque ce dernier émet 31 fois moins de kg équivalent CO2 et nécessite 4,3 fois moins d’eau », conclut l’étude.
Ainsi, les résultats viennent confirmer le discours de la marque depuis sa création : choisir une alternative végétale à la viande, même ponctuellement dans l’année et à échelle individuelle, peut vraiment contribuer
à préserver la planète.
Une analyse complète
Au cours de cette étude, c’est toute la chaîne de production qui a été analysée ; depuis l’origine des ingrédients utilisés jusqu’au traitement de leurs emballages en passant par le conditionnement, la logistique ou encore la distribution, et ce, en comparaison avec leurs équivalents carnés.
Les résultats de l’étude démontrent que les produits HappyVore ont en moyenne 12 fois moins d’impact sur le changement climatique que leurs équivalents carnés. Le différentiel d’impact le plus important est celui entre le bœuf et le steak végétal HappyVore, puisque ce dernier émet 31 fois moins de kg équivalent CO2 par kilo de produit fini. Par ailleurs, choisir des Chipolatas HappyVore permet d’émettre 6,3 fois moins de kg équivalent CO2 que des équivalents carnés, des Allumettes 4,2 fois moins que des lardons, des Aiguillettes HappyVore 3,5 fois moins que des aiguillettes de poulet et des Nuggets HappyVore 2,5 fois moins de kg équivalent CO2 que leurs équivalents carnés.
« Si chaque Français remplace sa viande par 1 produit HappyVore une fois par semaine pendant 1 an, cela représente une économie de 4,9 millions de Tonnes équivalent CO2, émissions comparables à celles d’une personne qui ferait 1.8 million d’A/R Paris-New-York en avion », explique la marque.
« Nos produits permettent de faire cohabiter le plaisir de manger avec les enjeux environnementaux que nous portons, et ont déjà permis à de nombreuses personnes de réduire leur impact sur la planète, en accord avec nos ambitions », argumente Cédric Meston, cofondateur d’HappyVore.
Le végétal : une solution pour préserver l’or bleu
Les résultats de l’étude révèlent également un impact positif dans la préservation de l’eau : les produits HappyVore nécessitent en moyenne 2,8 fois moins d’eau que leurs équivalents carnés. La réduction d’impact est particulièrement élevée sur les Steaks végétaux et gourmands, avec 4,3 fois moins d’impact sur l’indicateur épuisement de la ressource en eau, ainsi que sur les Chipolatas qui consomment 4,5 fois moins d’eau que les saucisses carnées.
Il s’agit donc d’un argument non négligeable actuellement, alors que les périodes de sécheresse inquiètent et que des restrictions d’eau sont déjà en place dans certains départements français ou le seront dans les moins à venir.
